à partir de 13 ans
Le Clan des Otori - IV
Le Vol du héron
L'œuvre puissante et subtile de Lian Hearn est plus éblouissante que jamais.
Seize ans ont passé... Takeo et Kaede font régner la paix sur les Trois Pays. Leur fille aînée, la belle Shigeko, promet d'être une digne héritière. Mais cette harmonie est en danger. Certains membres de la Tribu n'ont pas renoncé à leur vengeance, des guerriers forts de l'appui de l'empereur convoitent le pouvoir, les étrangers arrivent avec leur religion et leurs armes à feu, et le fils caché de Takeo, que la prophétie désigne comme artisan de sa mort, a grandi. Le dernier acte de la tragédie est en place...
Seize ans ont passé... Takeo et Kaede font régner la paix sur les Trois Pays. Leur fille aînée, la belle Shigeko, promet d'être une digne héritière. Mais cette harmonie est en danger. Certains membres de la Tribu n'ont pas renoncé à leur vengeance, des guerriers forts de l'appui de l'empereur convoitent le pouvoir, les étrangers arrivent avec leur religion et leurs armes à feu, et le fils caché de Takeo, que la prophétie désigne comme artisan de sa mort, a grandi. Le dernier acte de la tragédie est en place...
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Détails
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768 pages 108 x 178 mm
ISBN : 9782075088305
Date de parution : 02/11/2017
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Traduit (anglais) par :
Philippe Giraudon
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Illustrateur de couverture :
Yuko Shimizu
Collection :
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La presse en parle
« Avec un art et une connaissance qui ne pèsent pas un instant sur la dynamique du récit, Mrs Hearn est parvenue à lui insuffler l'aura mystérieuse des rêves et des possessions diaboliques » (Le Magazine Littéraire).
« Une écriture limpide mise au service d'intrigues familiales dignes des tragédies grecques et des combats que l'on croirait sortis du film "Tigre et Dragon" » (Le Figaro Magazine).
« On aime : pour cet art consommé du récit et ces grands sentiments humains alliés au décor grandiose d'un Japon sans âge » (Phosphore).
« Une écriture limpide mise au service d'intrigues familiales dignes des tragédies grecques et des combats que l'on croirait sortis du film "Tigre et Dragon" » (Le Figaro Magazine).
« On aime : pour cet art consommé du récit et ces grands sentiments humains alliés au décor grandiose d'un Japon sans âge » (Phosphore).