

à partir de 13 ans
L'Algérie ou La mort des autres
Un récit autobiographique que l'on reçoit comme une confidence à vif, où les non-dits pèsent autant que les mots. Poignant.
1954. Une jeune adolescente quitte La Lorraine pour l'Algérie, où son père, militaire, a été muté. Après l'enchantement, la découverte d'une terre sensuelle éclaboussée de soleil, l'angoisse s'installe avec l'arrivée des soldats dans le village. Embuscades, corps éventrés, cris de la torture, la guerre frappe jusque sous ses fenêtre. Fini la liberté, les sorties... Elle apprend le racisme ordinaire, quotidien, et découvre l'amour, les premiers rendez-vous.... Mais que peut-elle espérer de Jacques, jeune soldat mobilisé dans cette Algérie à feu et à sang?
1954. Une jeune adolescente quitte La Lorraine pour l'Algérie, où son père, militaire, a été muté. Après l'enchantement, la découverte d'une terre sensuelle éclaboussée de soleil, l'angoisse s'installe avec l'arrivée des soldats dans le village. Embuscades, corps éventrés, cris de la torture, la guerre frappe jusque sous ses fenêtre. Fini la liberté, les sorties... Elle apprend le racisme ordinaire, quotidien, et découvre l'amour, les premiers rendez-vous.... Mais que peut-elle espérer de Jacques, jeune soldat mobilisé dans cette Algérie à feu et à sang?
La presse en parle
"Ce que l'on aime dans le récit autobiographique de Virginie Buisson, c'est cette fusion réussie du drame collectif et de l'aventure individuelle. C'est aussi cette pudeur dans l'évocation de l'horreur... Ce qu'on aime encore c'est la sensualité vive que les mots de l'écrivain réssucitent, à coup de petites phrases haletantes, laconiques." (Le Monde).
"La beauté y cotoie l'épouvante, l'atrocité le dispute à la tendresse inavouable, la sensualité d'une terre qui subjugue. Presque "Les Noces" d'un Camus féminin (Libération).
"Un écriture laconique au couteau et à l'os pour parvenir à l'anamnèse et prétendre revivre." (Le Nouvel Observateur).
«Un témoignage plein de pudeur sur un drame collectif» (Historia).
"La beauté y cotoie l'épouvante, l'atrocité le dispute à la tendresse inavouable, la sensualité d'une terre qui subjugue. Presque "Les Noces" d'un Camus féminin (Libération).
"Un écriture laconique au couteau et à l'os pour parvenir à l'anamnèse et prétendre revivre." (Le Nouvel Observateur).
«Un témoignage plein de pudeur sur un drame collectif» (Historia).