Illustré par Vincent Mathy
de 4 à 7 ans
La plus grande bataille de polochons du monde
Années 50, un dortoir de colonie de vacances, à la montagne. Les gamins dorment. Pas un bruit. Soudain, un petit prout de rien du tout, suivi de rires. Un oreiller vole. Puis deux. Des lampes de poche s'allument. La bataille de polochons commence. Mais pas n'importe quelle bataille de polochon. La plus grande qu'il y ait jamais eu sur terre.
Prix littéraire de la Fondation MVE, catégorie Poussin.
Prix littéraire de la Fondation MVE, catégorie Poussin.
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Détails
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36 pages 230 x 205 mm
ISBN : 9782070617234
Date de parution : 09/10/2008
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Illustrateur de couverture :
Vincent Mathy
Collection :
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La presse en parle
«Ce livre surfe agréablement sur vague de la poésie et de l'humour. Attention, ambiance magique !» (Maman !, avril 2009).
«L'illustration au charme suranné des années 1950 tient un place capitale et restitue bien l'ambiance d'un dortoir» (Page, décembre 2008).
«Vincent Mathy a mis en dessin ce scénario qui se déroule comme un petit film de vacances en super huit» (Ouest France, décembre 2008).
«Leur travail aboutit à un album quasiment muet – seules quelques onomatopées ponctuent le récit – où l'illustration au charme suranné des années 1950 tient une place capital et restitue bien l'ambiance d'un dortoir. On appréciera surtout les jeux de lumières entre le noir et le blanc» (Page des libraires, décembre 2008).
«Cet album sans parole se goûte image par image, pour fouiner dans ses innombrables détails, ou à toute allure, à la manière d'un hilarant dessin animé» (Femmes, décembre 2008).
«Dans un défilé, des poupées de bric et de broc, toutes plus belles les unes que les autres, vous émeuvent, vous font voyager hors du temps, loin, très lion, au pays des rêves et des souvenirs» (L'humanité).
«L'illustration au charme suranné des années 1950 tient un place capitale et restitue bien l'ambiance d'un dortoir» (Page, décembre 2008).
«Vincent Mathy a mis en dessin ce scénario qui se déroule comme un petit film de vacances en super huit» (Ouest France, décembre 2008).
«Leur travail aboutit à un album quasiment muet – seules quelques onomatopées ponctuent le récit – où l'illustration au charme suranné des années 1950 tient une place capital et restitue bien l'ambiance d'un dortoir. On appréciera surtout les jeux de lumières entre le noir et le blanc» (Page des libraires, décembre 2008).
«Cet album sans parole se goûte image par image, pour fouiner dans ses innombrables détails, ou à toute allure, à la manière d'un hilarant dessin animé» (Femmes, décembre 2008).
«Dans un défilé, des poupées de bric et de broc, toutes plus belles les unes que les autres, vous émeuvent, vous font voyager hors du temps, loin, très lion, au pays des rêves et des souvenirs» (L'humanité).