à partir de 13 ans

Le journal intime de Georgia Nicolson - 2

Le bonheur est au bout de l'élastique

Nouvelle édition en 2002

Georgia Nicolson a retrouvé le sourire. Plus question de rejoindre son père en Nouvelle-Zélande. Plus question de quitter ses copines, son chat Angus et surtout Robbie, le garçon de ses rêves. La vie est de nouveau pleine de promesses… qu'elle ne tient pas : Robbie suggère à Georgia de sortir avec un autre garçon parce qu'il la trouve trop jeune pour lui! L'humiliation est atroce mais Georgia est bien décidée à reconquérir l'homme de sa vie. Pour ça, elle met sur pied un plan imparable qui exige un élastique, des glaçons et une chèvre!
Georgia Nicolson est de retour, avec toujours autant d'esprit, et nous livre le deuxième volume de ses confessions. À conseiller également aux parents d'adolescentes!
  • Détails
      • 208 pages 130 x 200 mm

        ISBN : 9782070538003

        Date de parution : 13/11/2002

      • Disponible également en :

        Pôle Fiction : 6.5 €

      • Illustrateur de couverture :

        Claire Bretécher

      • Traduit (anglais) par :

        Catherine Gibert

      • Collection :

        Scripto

La presse en parle

«Drôle, tonique et léger, servi par un ton mordant, ce journal intime d'une ado hyperbranchée rassurera les plus inquiètes. Oui, c'est normal d'être insupportable à 14 ans!» ("L'Hebdo des Juniors").
«Des confessions hilarantes!» ("Biba").
«Des livres extrêmement drôles, où l'on ne s'ennuie jamais, à dévorer sans attendre!» ("Je Bouquine").
«Pour celles qui savent rire d'elles-mêmes, à travers une caricature décapante» ("Livres Jeunes aujourd'hui").
«Le ton est enlevé et drôle» ("La revue des livres pour enfants").

«Les journaux intimes de Georgia Nicolson se multiplient à un rythme infernal et toujours génial. Ils mettent en scène des filles avec leur préoccupation majeure : les mecs. Ici, Georgia en pince pour Dave. Réflexions désopilantes à la récré, au téléphone, à déjeuner, dans sa chambre… La mère en prend pour son grade à chaque page, ou presque. Déjanté, attachant, terriblement actuel, Georgia est la bonne copine des jours gris. À inviter plus souvent pour «se poiler», comme elle dit» (Atmosphères, août 2007)

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