à partir de 12 ans
Avez-vous vu Zachary Beaver?
«Mesdames et messieurs, venez voir le plus gros garçon du monde! Deux cent quatre-vingt-onze kilos, vous n'allez pas en croire vos yeux!» Antler, Texas, été 1971. À Antler, il ne se passe jamais rien. Alors lorsqu'une caravane s'installe sur la place, elle crée l'événement. Comme toute la population, Toby, âgé de treize ans, et Cal, son meilleur ami, se précipitent pour voir le monstre de foire à deux dollars l'entrée. Là, ils font la connaissance de Zachary Beaver, un garçon du même âge qu'eux, qui passe le temps en mangeant et en rêvant au monde extérieur sans jamais sortir de sa caravane. Tandis que la guerre du Vietnam emporte peu à peu les fils d'Antler, l'été 1971 est pour Toby un été bouleversant qui changera à tout jamais le regard qu'il porte sur les autres, sur la vie…
"Une écriture sensible, précise, qui décrit en touches délicates, avec beaucoup de pudeur, la réalité d'une petite ville américaine, sans jamais l'enjoliver.
Photo de couverture : ® Ed Nielsen."
"Une écriture sensible, précise, qui décrit en touches délicates, avec beaucoup de pudeur, la réalité d'une petite ville américaine, sans jamais l'enjoliver.
Photo de couverture : ® Ed Nielsen."
La presse en parle
«Cet été bouleversera la vie de tous, la mère de Toby ne reviendra pas, le frère de Cal sera tué au Vietnam, le gros garçon repartira comme il est venu… et les deux copains auront grandi. Roman d'apprentissage à la fois tendre et amer, drôle et poignant, au ton très fin, très personnel. Une réussite» ("La revue des livres pour enfants").
«Un récit plein de charme, révélateur de la vie ordinaire américaine, avec une description très fine des relations entre les habitants de la petite ville et le portrait d'un adolescent plein de pudeur» ("Inter CDI").
«Un chef-d'œuvre qui réussit à trouver l'extraordinaire de l'ordinaire» ("The New York Times").
«Un récit plein de charme, révélateur de la vie ordinaire américaine, avec une description très fine des relations entre les habitants de la petite ville et le portrait d'un adolescent plein de pudeur» ("Inter CDI").
«Un chef-d'œuvre qui réussit à trouver l'extraordinaire de l'ordinaire» ("The New York Times").
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