à partir de 15 ans

Lo

Lo, jeune nymphe orpheline, vit sous la férule de Diane, déesse intransigeante et névrosée. Lorsqu'elle sauve la vie d'un jeune pâtre, Daphnis, c'est le coup de foudre, hélas non réciproque... Car Daphnis est amoureux de Chloé, une jolie bergère avec laquelle il rêve de découvrir les plaisirs charnels. Inconsolable, Lo passe son temps à caresser le petit chien nommé Chagrin. Jusqu'à ce qu'une vieille sorcière lui vienne en aide... au-delà de ses espérances !
"Pour son quatrième livre chez « Bayou », Lucie Durbiano s'est inspirée d'une pastorale grecque. Elle relate avec sensualité et irrévérence les amours contrariées d'une jolie nymphe dans l'Antiquité. Une éducation sentimentale légère comme un songe d'une nuit d'été.

Prix de la BD du Point 2010.

- Avec «Lo», vous adaptez de manière très libre «Daphnis et Chloé» de Longus, un auteur grec de la fin de l'Antiquité. Pourquoi en faire une bande dessinée ?Lucie Durbiano : J'avais envie d'une histoire qui se passerait dans l'Antiquité gréco-romaine. Une histoire sur l'émoi amoureux, ses plaisirs et ses désillusions. J'avais aussi envie d'un «roman pastoral», d'inclure mes personnages dans la nature, de ne me soucier que de leurs sentiments. En faisant des recherches, j'ai découvert Daphnis et Chloé de Longus. Je ne connaissais pas cette histoire mais c'était exactement ce que je cherchais. C'est un roman pastoral initiatique sur la découverte de l'amour aussi bien charnel que spirituel entre deux adolescents. J'ai décidé d'inclure seulement ces deux personnages dans mon histoire
  • Détails
      • 104 pages 170 x 240 mm

        ISBN : 9782070627172

        Date de parution : 09/09/2010

Feuilleter

La presse en parle

«Ballet charmant, spirituel et orchestré avec précision» (Les Inrockuptibles, septembre 2010).

«L'auteure détourne les repères habituels du conte pour mettre en scène un délicieux marivaudage, ponctué de bouffées de poésie» (Métro, octobre 2010).

«Un grand plaisir» (Le Nouvel Observateur, septembre 2010).

«On songe beaucoup à Rohmer, certes, mis aussi et surtout à Billy Wilder, pour la fausse ingénuité et l'authentique crudité qui envahissent cet univers bucolique où les satyres, les nymphes et même les dieux (...) jouent une comédie de l'amour échevelée. Une pure merveille» (Le Point, octobre 2010).

«Un conte pastoral subtilement décalé» (...) «Un ballet enlevé, une comédie plus moderne qu'il n'y paraît sur le thème de la perte de l'innocence et du passage à l'âge adulte» (Livre Hebdo, août 2010).

«Un petit joyau d'humour et de poésie bucolique» (Le Monde Magazine, octobre 2010).

«Comme réussir une BD fraîche, pétillante et un brin friponne à partir d'un roman pastoral de l'antiquité grecque ? Il suffit d'avoir la malice, l'esprit et l'humour de Lucie Durbiano.» (...) «La fée follette de Gallimard nous offre un petit bijou» (Charente Libre, septembre 2010).

«Une pure merveille» (Le Point).

«Lucie Durbiano livre un conte irrévérencieux, délicat et sensuel, aux dialogues impeccablement contrôlés» (Libération).