J'ai pas tué de Gaulle

Mais ça a bien failli...

Bruno Heitz rejoue l'attentat du Petit-Clamart et donne à vivre la France des années 1960. Un polar savoureux dans la France de tante Yvonne.

Jean-Paul a quitté sa morne ville de l'Est pour la capitale, où un vendeur de voitures l'entraîne dans une escroquerie à l'assurance. Lui, ça lui va bien. L'argent est facile et les filles d'à côté très gentilles. Jusqu'au jour où il tombe sur des moins honnêtes que lui. Des moins honnêtes et des plus méchants, des types de l'OAS, qui le font chanter et se servent de lui comme chauffeur lors de leurs expéditions punitives.
  • Détails
      • 128 pages 170 x 240 mm

        ISBN : 9782070628834

        Date de parution : 17/05/2010

Feuilleter

La presse en parle

«C'est beau, immoral et grinçant comme du Gide» (Le Point).

«Les ingrédients d'une cuisine littéraire à la Simenon (...) Ce récit livre une philosophie douce-amère du détachement comme perte de soi». (Le Monde).

«Les mesquineries et les gentillesses des laisses-pour-compte de la modernite enveloppent le destin d'un heros derisoire» (Lire)

«Un album savoureux» (Rolling Stone).

«Magnifique BD» (Rock & Folk).

«Drôle et habile, l'intrigue s'appuie sur un graphisme retro» (Le Nouvel Observateur).

«Heitz entre dans la danse philosophique par la petite porte de la farce en bande dessinée» (Inrockuptibles).

«Le pied-de-nez final vient couronner ce conte sans moral et intemporel, dans l'esprit d'un roman inédit d'Andre Gide» (Chronic'art).

«Un très amusant portrait frais et décale. Roman graphique acerbe et passionnant!» (L'Echo).

«Heitz décrit la France de De Gaulle avec une belle finesse. Une pirouette narrative maligne» .

«Bruno Heitz nous étonnera toujours» (Lire).

«Avec son dessin rigolo, ses dialogues sans fioriture et son regard décalé sur l'Histoire, Bruno Heitz signe un album délicieux» (Charente Libre, juin 2010).

«DS, I04, OAS et tartes aux pommes se côtoient avec délice et fluidité» (ZOO, mai-juin 2010).

«Une réécriture de l'histoire, entre burlesque et tragique, qui abrite toute une portée artistique» (Les Inrockuptibles, juin 2010).

«De grandes qualités graphiques (...) un humour dévastateur» (La Montagne, octobre 2010).