de 9 à 13 ans

Le sourire de Joséphine

Journal de Léonetta, 1804

Léonetta vit à la campagne, au bord de la Charente, seule avec son grand frère Bonaventure depuis que la Révolution les a séparés de leurs parents. Mais Bonaventure est enlevé par de mystérieux hommes en noir…

28 floréal an XII (18 mai 1804)
«Je dois donc aller à Paris, palais des Tuileries. Que faire là-bas? Chercher le citoyen Tascher, alors qu’il est déjà sans doute sur d’autres routes à la recherche d'autres plantes? Obtenir une audience de la femme du Premier consul dont je ne sais même pas le nom? Moi, Léonetta, âgée de quatorze ans, comment partir?»

30 floréal an XII (20 mai 1804)
«J’ai confié la maison et les animaux à Marceau… Pour voyager incognito, je vais m'habiller en garçon. J’emmène mon chien Molosse. Marceau m’a conseillé de ne pas donner la vraie raison de mon départ pour ne pas alerter les hommes en noir…»
Une jeune fille prête à toutes les audaces pour retrouver son frère kidnappé.
Un voyage plein de péripéties sur les routes de France, puis la découverte fascinante de Paris et jusqu’à l’intimité de Joséphine de Beauharnais.
Une plongée dans un univers somptueux : les boutiques et les cafés du Palais-Royal, la cour impériale et la préparation du sacre de Napoléon.
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La presse en parle

«Le livre m'a aidée à imaginer ce qu'on apprend en cours» ("Lire", Jeanne, dix ans, s'est plongée avec délectation dans "Le sourire de Joséphine").

«Comment faire de l'histoire un texte captivant, sans trop chausser les gros sabots du roman historique traditionnel mais en renouvelant les données avec légèreté, voilà ce que réussit Claude Helft dans ce livre. La forme choisie, celle du journal intime, y est sans doute pour beaucoup : on voit l'histoire en train de se faire, et tout ce qui deviendra passé à étudier un jour avec révérence n'est pour l'instant qu'un moment dont Léonetta s'est dit qu'il était assez joli ou assez prenant pour qu'elle le retienne» ("Griffon").

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